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Affichage des articles du mars, 2017

Le fantôme de Blossac

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Encre de Chine sur Canson - 70 cm x 50 cm Qui est le "Fantôme de Blossac" ? Dessin exposé au 16ème salon du Centre Socioculturel "Les Longs Prés" à Rennes du 27 mars au 7 avril 2017. Paul Henry Corentin Féval naît le 29 septembre 1816 l' hôtel de Blossac , rue du Four-du-Chapitre à Rennes. Son père, royaliste et chrétien, originaire de Troyes appartient à la petite magistrature, il est conseiller à la cour royale de la ville. Sa mère, Jeanne-Joséphine-Renée Le Baron, est Bretonne de la région de Redon. La famille est nombreuse (cinq enfants). En 1826, à l'âge de 10 ans , Paul entre comme interne au collège royal de Rennes (aujourd'hui, lycée Émile-Zola). Son père meurt l'année suivante. Il passe une licence en droit à l’université de Rennes et devient avocat en 1836. Il abandonne cette profession. En 1837, il s'installe à Paris comme commis chez un oncle banquier, mais le monde de la banque ne lui convient pas. Il songe à la littérature

A Blaise Cendras - L'oiseau bleu

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Huile sur toile 40 cm x 40 cm Tableau exposé au 16ème salon du Centre Socioculturel "Les Longs Prés" à Rennes du 27 mars au 7 avril 2017. L'oiseau bleu   - Blaise Cendras Mon oiseau bleu a le ventre tout bleu   Sa tête est d'un vert mordoré   Il a une tache noire sous la gorge   Ses ailes sont bleues avec des touffes de petites plumes jaune doré   Au bout de la queue il y a des traces de vermillon   Son dos est zébré de noir et de vert   Il a le bec noir, les pattes incarnat et deux petits yeux de jais   Il adore faire trempette, se nourrit de bananes et pousse   Un cri qui ressemble au sifflement d'un tout petit jet de vapeur   On le nomme le septicolore.

La Madone

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Huile sur toile 30 cm x 30 cm - Cadre 45 cm x 45 cm La langueur et la douceur résignée de la Madone, émeut et captive plus encore que la grâce brillante. La représentation de la Madone (ou Vierge à l'Enfant) est un thème récurrent en peinture et en sculpture religieuses chrétienne. (...) À celle qui est infiniment joyeuse. Parce qu'aussi elle est infiniment douloureuse. À celle qui est infiniment touchante. Parce qu'aussi elle est infiniment touchée. Charles Péguy - Le Porche du mystère de la deuxième vertu