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Affichage des articles du octobre, 2016

Boris Vian et sa trompette

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Encre de Chine sur papier Canson - Cadre 40 cm x 30 cm Encre de Chine sue papier Canson - Cadre 40 cm x 30 cm Touche à tout de génie, Boris Vian s’est passionné pour la musique. Trompettiste accompli, il a aussi composé des livrets d’ opéra , rédigé des rocks français avec Henri Salvador et signé plusieurs centaines de chansons. Il a écrit un livre inspirée de son expérience professionnelle dans l’édition musicale : En Avant la Zizique .

Au Tabou - Boris Vian

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Aquarelle - Encre de Chine sur Canson - Cadre 58 cm x 58 cm - VENDU Le Tabou est un lieu de jazz. Boris Vian est parmi les premiers musiciens à s'y produire ; il y fonde un petit orchestre de jazz avec ses frères, Lelio (à l'accordéon et à la guitare), et Alain (à la batterie),  En 1944 , il rencontre Claude Luter. Ils vont jouer ensemble, au Caveau des Lorientais puis au Tabou Après la Libération de Paris, on le retrouve avec l'orchestre Abadie, considéré comme l'un des meilleurs orchestres de jazz amateur de l'époque. A voir et entendre - CLIQUER

Au Tabou - ses habitués

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Aquarelle - Encre de Chine sur Canson - Cadre 58 cm x 58 cm Un centre de folie organisée. Le Tabou était un club de danse et de jazz installé dans la cave du XVII e  siècle de l'hôtel d'Aubusson à Paris, au 33 de la rue Dauphine et devient l'une des premières cave-club de Saint-Germain-des-Prés. Inauguré en 1947, peu après la fermeture du Caveau des Lorientais . Il est très vite devenu le rendez-vous favori des zazous, noctambules et intellectuels, et un haut lieu des existentialistes. On y danse au son du jazz, dans une cave voûté peuplée de tables et de tabourets, éclairée de petites ampoules de couleurs vives. Dessin réalisé dans la perspective d"une exposition début 2017  qui tournera autour de Boris Vian .

La source tombait du rocher

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Encre sur Canson - Cadre 48 cm x 38 cm Pastel gras - Encre de Chine sur Canson - Cadre 58 cm x 58 cm Deux tableaux pour un poème de Victor Hugo  La source tombait du rocher La source tombait du rocher Goutte à goutte à la mer affreuse. L'océan, fatal au nocher, Lui dit : - Que me veux-tu, pleureuse ? Je suis la tempête et l'effroi ; Je finis où le ciel commence. Est-ce que j'ai besoin de toi, Petite, moi qui suis l'immense ? - La source dit au gouffre amer : - je te donne, sans bruit ni gloire, Ce qui te manque, ô vaste mer ! Une goutte d'eau qu'on peut boire.